Passion - Chapitre I ~~

Attention fiction déconseillé - 18 ans !!! scènes de sexe explicites dès le premier chapitre, la perverse que je suis entre en action pour le plus grand bonheur de Jess hahaha Vous voilà prévenu !


 

Je suis en route en direction de l’appartement de mon frère. J’ai appris hier que mon petit ami me trompait. Comment ? C'est très simple. Je l’ai pris sur le fait, dans notre lit avec une autre fille. Il ne pouvait donc pas nier et faire l’innocent. Pas de chance, je l'ai pris en flagrant délit. Évidemment, s’en est suivi la crise de larmes, les cris, les coups et les objets volants non identifiés de part et d’autre de la pièce. 

  

Le souci dans cette histoire, c’est que nous étions en ménage, alors j’ai tout de suite appelé mon frère pour qu’il m’héberge quelque temps. Il était hors de question de rester avec ce connard sous peine de finir en prison pour meurtre. Mon appartement était un peu plus proche de mon boulot, mais tant pis. Je préfère encore me taper vingt minutes de trajet supplémentaire que de voir sa sale gueule chaque jour. 

  

Je me gare devant l’immeuble et appelle mon frangin qui décroche à la première sonnerie.  

  

—  Naruto ? C'est moi, je suis devant. Tu peux venir m'aider à décharger mes affaires ? demandé-je. 

  

—  J'arrive avec de mes colocs, répond-il avant de raccrocher. 

  

Je sors de la voiture et attends patiemment que les garçons arrivent. Soudain, je vois mon frère arriver accompagné d’un autre jeune homme. Celui-ci est plutôt grand, il dépasse mon frangin d’au moins une tête. Je dirais même qu’il fait un peu plus d’un mètre quatre-vingt. Il a les cheveux ébène en bataille et ce petit air décontracté me fait craquer. Bah oui, ce n'est pas parce qu'on est en couple qu'on ne peut plus regarder le menu. Ah, minute, mais je ne le suis plus. C'est vrai, je suis officiellement célibataire et j'emmerde royalement Saï. Il peut bien se taper le laideron du coin ou la pouf du quartier, je m'en fous. Je le déteste ! 

 

 

Dis donc, Naruto a un coloc trop canon et il s'était bien gardé de me le dire ! Petit cachottier ! Jusqu’à aujourd’hui, je n’avais jamais rencontré les potes de fac de mon frère. 

  

— Saku ! 

   

Mon frangin me fait la bise, avant d’ouvrir mon coffre de voiture. L’autre garçon me fait un petit signe de la tête avant d’aider Naruto à sortir les valises. Je souris quand ce dernier peste en me demandant combien j’ai pris de bagage. Je lui réponds gentiment que je suis une fille et que c’est le quota indispensable pour mon confort. Et puis, je n’allais pas laisser mes affaires chez Sai, hors de question. Je n’ai pas envie de revoir sa gueule. Les deux garçons prennent chacun deux valises, tandis que je porte mon sac à main et mon ordinateur. D’accord, je ne suis pas très chargée, mais n’oublions pas que je suis une fille et que je n’ai quasiment pas dormi de la nuit, trop occupée à pleurer toutes les larmes de mon corps. Et puis, je suis une princesse merde ! 

  

Enfin, actuellement je serais plutôt la gueuse du village. Je ne dois pas être très présentable, mes yeux couleur émeraude sont rougies, mes longs cheveux rose clair attachés à la va-vite et des cernes très prononcées. Je suis les garçons dans l’immeuble, une fois dans l’ascenseur personne ne prononce un mot. Arrivés au quatrième étage, je suis mon frère jusqu’à leur appartement. Naruto me fait une visite rapide des lieux avant de revenir au salon. 

  

—  Voilà, fait comme chez toi. Je te laisse ma chambre, je serais là un jour sur deux environ. Je dormirais chez Hinata ou ici, sur le canapé. Je te présente un de mes colocs, Sasuke. Il est assez grognon, mais il lui arrive d'être gentil, parfois, sourit mon frère. Quant au troisième, tu le rencontreras sans doute demain, il est chez sa copine. 

  

Sur ces paroles, les garçons amènent mes valises dans ma nouvelle chambre – temporaire- avant de repartir. Seule, j’en profite pour enfin lâcher prise. Je me laisse tomber sur le lit, la tête enfuie dans la couette et mes larmes recommencent à couler. Je me pose toujours les mêmes questions. Pourquoi et comment a-t-il pu me faire ça ? M’a-t-il aimé un jour ? Depuis quand me trompait-il ? Quand je pense que ce n’était pas la première fois qu’il était infidèle… J'ai envie de vomir, de le gifler ou encore de lui arracher ses petites couilles de tapette. Soit il était doué en mensonge et faux semblant, soit j’étais complètement aveuglée par l’amour. Ma fierté me pousse à croire à la première option. J’ai beau me dire que c’est un con et qu’il ne me mérite pas, la souffrance est toujours présente. Le fait d'avoir été prise pour la dinde de service me frustre profondément. J’ai déjà eu des ruptures, mais jamais aussi douloureuses. C’était mon premier vrai copain, ça allait faire trois ans que nous étions ensemble. Je lui faisais confiance et ce connard a balayé ces années de relation. J’ai l’impression d’avoir gâché mon temps, mais je suis contente de m’en être aperçue maintenant. Dire qu'il m'avait demandé en fiançailles et que j'avais dit 'oui'. Heureusement que nous ne nous étions pas encore mariés, car divorcé à vingt-quatre ans ça craint. Je vais juste repartir à zéro, je suis encore jeune et beaucoup de personne vive des ruptures. Ce n’était pas le bon, tout simplement. Mon prince charmant m’attend toujours, je dois juste faire attention aux vilains crapauds comme Sai. 

  

Je pense que c’est parce qu'il était mon premier amour, que je prends cette trahison tant à cœur. Après tout, on fait tous des erreurs et malheureusement, j'ai tout donné à un connard qui pense avec sa bite. Sa arrive, c’est comme ça. On ne fait pas toujours des bons choix. 

  

Après avoir pleuré pendant plusieurs heures pour évacuer toutes mes émotions : colère, tristesse, frustration, déception..., je suis ramenée à la réalité par les gargouillis de mon ventre. Je jette un coup d’œil à mon téléphone, il est un peu plus de treize heures. Je sors de 'ma' chambre avec mon porte-monnaie et passe me rafraîchir rapidement à la salle de bain avant de me diriger vers la cuisine ouverte. 

  

Sasuke est assis au bar, une assiette vide et une tablette devant lui. Il ne lève pas la tête, il a l’air concentré sur l’écran ou alors il fait comme si j n’existais pas. Je dépose un billet de cinquante euros sur le bar pour la nourriture de la semaine. Il est hors de question que je me fasse nourrir gratuitement par des étudiants. Je découvre un mot accroché au frigo. 

 

  

« Je suis parti chez ma copine, je reviens demain. Bisous » 

 

  

Je souris, mais au fond, je ressens une pointe de tristesse en imaginant mon frère chez sa copine. Ça me renvoie ma rupture en pleine figure. Je cligne des yeux pour empêcher les larmes de monter, j’ai déjà assez pleuré et je ne veux pas me donner en spectacle devant un inconnu. Je prends le mot, le froisse et le glisse dans la poche arrière de mon jean. Je me prépare un rapide casse-croûte et m’installe à côté de Sasuke en prenant soin de laisser une chaise entre nous. Je ne voudrais pas rentre ma présence encore plus insupportable pour lui. 

  

Après quelques bouchées, je suis surprise de voir mon portable vibrer. Je m’efforce de ne pas me jeter dessus et pose lentement mon sandwich. Je m’essuie rapidement les mains sur mon jean et regarde mon téléphone. Un message de Sai, évidemment. Je l'aurais parié ! 

 

  

« Il faut qu’on parle, on ne peut pas plaquer trois ans d’amour comme ça. » 

 

  

La blague ! Et fourrer sa bite dans d'autres vagins que celui de sa copine, on a le droit peut-être ? 

  

J’ai envie de lui foutre ma main dans la figure. Où voit-il trois ans d’amour ? Sans déconner, monsieur copule à droite et à gauche et il ose me parler d’amour ? Il se fout de ma gueule là ! Ça y est, il m’a mis les nerfs. Je l'aurais devant moi, je l'émasculerais. 

  

Je réfléchis quelques minutes avant de répondre : 

 

  

« Il fallait y penser avant de sauter des filles à droites et à gauches dans mon dos. Sur ce, va te faire foutre. P'tite bite ! » 

 

  

J’appuie sur "envoyer" en chuchotant un petit « connard ». Je repose ensuite mon téléphone sur le bar et termine mon sandwich. Je lave la vaisselle avant de l’essuyer pour la ranger. Une vraie fée du logis ! Sasuke est toujours sur sa tablette, imperturbable. Je suis aussi invisible que Casper. Honnêtement, je ne sais pas ce que je vais faire de mon week-end. Pour passer le temps et me changer les idées, je décide de parler à la seule autre personne dans cette pièce : Sasuke. Je tire la chaise à côté de lui et m’y installe. 

  

— Tu as l'air bien concentré. Tu fais quoi ? demandé-je. 

  

Gros vent. Je ne sais pas comment je dois le prendre… Il m'a pourtant bien entendu. Que m’avait dit mon frère à propos de son copain ? Grognon ? C’est même plus être grognon là, mais mal élevé ! Il pourrait répondre, c’est la moindre des politesses. Visiblement, lui aussi est un con. Je me lève en glissant un petit « connard » avant de retourner dans ma chambre. Connard est devenu mon nouveau mot préféré du moment. 

  

Je m’allonge sur le lit et fixe le plafond. Heureusement que nous sommes vendredi, cela me laisse le temps de digérer les tromperies de mon copain et tout le reste avant de retourner au boulot lundi. Je n'ai pas tellement envie d’aller bosser dans trois jours, mais je ne peux pas me permettre de poser des congés juste parce que je suis cocue. Je ne suis pas non plus une fragile. Je prendrais sur moi et mettrais une bonne couche d’anticernes pour cacher les dégâts. Ni vu, ni connu.  

 

Mon portable sonne et je soupire quand je vois le nom de mon ex s’afficher. Il est con ou quoi ? Il n'a pas compris que c’est fini et que je ne veux pas encore être la cocue de service ? Il pense vraiment que je vais lui pardonner et revenir comme une grosse dinde ? Il se met le doigt dans l’œil le coco. Je décroche, agacée et lui répond sèchement : 

  

— Qu'est-ce que tu veux ? Tu n'as pas compris que c'était fini entre nous deux ? Fini, nada, over. Tu saisis ou tu es trop con pour ça ? m'énervé-je. 

  

— Saku, mon amour. Calme-toi, tu es juste un peu en colère, ma chérie. Je t'aime et je sais que tu m'aimes aussi, tente-t-il de m'amadouer. 

  

Je bondis à chaque mot de sa phrase. Mon amour, ma chérie, je t'aime. Il croit vraiment qu'il peut encore utiliser toutes ses marques d'affection après ce qu'il m'a fait ? Il est en train de me mettre le démon ! Je fulmine. 

  

— On est fiancé, ce n'est pas rien, continue-t-il. 

  

— Était, rectifié-je. Et bien sûr que je suis énervée. Je t'ai surpris hier avec ta collègue, dans notre lit, notre lit bordel ! Comment tu as pu me faire ça et me parler d'amour après ? dis-je en ravalant un sanglot. Tu as vraiment un connard. Tu sautes des filles dans mon dos et le soir, tu oses me dire 'je t'aime' les yeux dans les yeux ? Tu te fous de ma gueule ? Alors arrête de m'appeler. Retourner voir ta collègue qui se fera une joie de te consoler, j'en suis sûre. Sur ce, va te faire foutre et oublie-moi. 

  

Et je raccroche sans lui laisser le temps de répondre. J’essuie les larmes de rage qui coulent sur mes joues. Ce con m’a encore fait pleurer et moi, je suis la reine des idiotes de chialer pour ce mec qui ne me mérite pas. Je suis en colère contre le monde entier : lui, moi et mon nouveau coloc, le glaçon. Bordel, mon frère lui a bien dit que je venais d’apprendre que j'étais cocue, il pourrait être un minimum aimable ! 

  

Fatiguée, je décide d’aller prendre un bon bain pour me relaxer. Je prends une serviette de douche dans ma valise et des habits avant de partir en direction de la salle de bain. J’ouvre la porte et me fige sous le choc. Sasuke est devant moi entièrement nu en train de se raser la barbe. Il est incroyablement bien bâti, des abdos en béton comme j’aime. Je ne peux m’empêcher de jeter un œil un peu plus bas et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il est bien monté le glaçon. Je reprends rapidement mes esprits et reporte mon regard sur son visage qui affiche un petit sourire. Il a compris que je l’ai entièrement dévoré du regard pendant quelques secondes, en même temps, je n’ai pas été très discrète. La honte ! 

  

— Qu'est-ce que tu fais à poil ? m'exclamé-je. 

  

— Tu poses vraiment la question ? répond-il sans même me regard, concentré sur son rasage. 

  

— Je ...je voulais prendre un bain. Désolé, je ne savais pas que tu étais là, m'excusé-je. 

  

  

Je ne lui laisse pas le temps de répondre, je sors de la salle de bain et claque la porte. Je me réfugie dans ma chambre légèrement honteuse, les joues rougies. J’ai dû passer pour une grosse perverse.  

Je ne peux empêcher mes pensées de revisionner Sasuke nu, le rasoir à la main. Qu’est-ce qu’il est sexy, il doit passer du temps à la musculation pour avoir un corps pareil. Je devrai peut-être m’y mettre moi aussi si c’est pour voir de si beaux spécimens. Je m'imagine voir de beaux gosses, avec des pecs et des abdos bien saillant, soulever la fonte. 

Je suis interrompue dans ma rêverie par la voix de mon nouveau fantasme. Il vient d’ouvrir la porte de ma chambre, seulement vêtu d’un caleçon. Il a couvert son entre-jambe, mais je suis quand même toute émoustillée. Je ne savais pas que les ruptures et les traumatismes augmentaient dangereusement la libido. Je m'efforce de détourner le regard de ce bout de tissu. 

  

— La salle de bain est dispo, Madame la perverse. 

   

Il affiche un petit sourire. J’hésite entre l’embrasser et le gifler. Même ses lèvres sont sexy…Oh Sakura, reprend toi, on dirait une adolescente bourrée d’hormones ! Et puis, pourquoi est-ce que je suis toute intimidée face à lui ? Parce qu’il est mystérieux et sûr de lui ? Parce qu’il n’a pas la prestance et le charisme d’une huitre à l’instar de Sai. Je suis frustrée. Il est plus jeune que moi, je devrais être celle qui le perturbe et le met mal à l'aise. Pas l'inverse ! Je dois me reprendre et lui montrer que c’est moi qui mène la danse.  

  

— Merci. Tu n'as qu'à me rejoindre si l'envie t'en prend, dis-je d'un clin d’œil. 

  

Et je pars en lui tapotant l’épaule. Mon dieu, mais qu’est-ce qui vient de sortir de ma bouche ? Je viens vraiment de lui proposer de me rejoindre dans mon bain ? Le choc de la rupture m’a grillé les neurones ou quoi ? Je voulais renverser la situation, mais pas comme ça ! Je suis rouge de honte pour la énième fois de la journée. 

  

Dans la salle de bain, je remplis la baignoire avec une bonne dose de gel moussant tout en maugréant contre ma stupidité. Je devrais tourner ma langue sept fois dans ma bouche avant de parler. Toute fois, je suis légèrement rassurée. Je ne vois pas monsieur glaçon me rejoindre malgré ma proposition absurde. Il n'a pas dû me prendre au sérieux, ou alors, il est tout intimidé dans sa chambre. J'espère qu'il gardera ma plaisanterais pour lui, parce que j'aurais la honte s'il le répétait à mon frangin. J'allais passer un mauvais quart d'heure. Même si je suis l’aînée, Naruto se comporte comme un grand frère et il est très protecteur envers moi. Je suis d’ailleurs étonnée qu’il ne soit pas parti arracher les couilles de Sai. 

  

Une fois le bain rempli d'eau et de mousse, je me glisse dedans et pousse un soupir de bonheur. L’eau chaude caresse ma peau et m’apaise. Des frissons parcourent mon corps. Oh, le paradis. C’est relaxant de profiter d’un bon bain, les yeux fermés à ne rien faire. J'adore ! C'est bien pour l'écologie et la planète que je n'en prends pas souvent.  

  

— Tu me fais de la place ? Demande soudainement une voix masculine. 

  

Pardon ? Est-ce une hallucination ? 

  

Je sursaute et écarquille les yeux en voyant Sasuke nu comme un ver devant moi. Mais, c’est une blague ? Je ne pensais pas qu'il me rejoindrait vraiment ! Oh mon Dieu !  

 

Je m’assois en cachant tant bien que mal ma poitrine avec mes mains et la mousse. Heureusement que j’en ai mis une tonne !  

  

— Qu'est-ce que tu fais là ? demandé-je abasourdie. 

  

Il ne dit rien et entre dans l'eau face à moi, stupéfaite et la bouche entre ouverte. Il est rentré dans MON bain et il me regarde avec un petit sourire en coin. Il voit à travers la mousse ou quoi ? J'en reprends d'une main pour en remettre devant moi, tandis que l’autre reste devant ma poitrine pour la cacher. Pas question qu’il voit un seul de mes tétons. Il est peut-être exhibitionniste, mais pas moi.  

 

Un éclat de rire retentit. Le voilà qui rigole maintenant, il se fout de ma gueule. Moi, je ne trouve pas ça drôle du tout ! Bordel ! Tout ça parce que j'ai voulu faire la maline. C'est quoi l'expression, déjà ? Tourner sept fois sa langue dans sa bouche avant de parler ? Je m'en souviendrai ! 

  

— Ça ne sert rien de faire une montagne devant toi, elle finira par disparaître tôt ou tard. Puis bon, j'en ai déjà vu des seins, pas besoin de faire la pudique. 

   

Mais je t'emmerde mon petit bonhomme ! Je vais lui en mettre une à ce crétin. Ce n’est pas parce que Monsieur a vu de nombreuses paires de nichons dans sa vie, que je vais lui montrer la mienne. Je suis pudique et encore plus avec des inconnus. La prochaine fois, je réfléchirais deux fois avant de plaisanter bêtement. 

  

— Je ne montre pas mes seins à des inconnus. Maintenant, sors de cette baignoire, ordonné-je. 

  

— Tu m'as pourtant proposé de te rejoindre. Je suis là, sourit l'imbécile. 

  

— C'était une blague ! protesté-je. 

  

— Ton frère m'a souvent parlé de sa grande sœur chérie, mais il n'avait pas précisé qu'elle était aussi sexy. 

   

Son compliment pourrait me faire plaisir, mais ce n’est pas le cas. Son sourire en coin est agaçant et je rêve de luis coudre les lèvres. J’ai l’impression qu’il va me manger toute crue et que je suis sa proie. Il est le vilain méchant loup et moi, le pauvre petit chaperon rouge. Je suis faible face à ce genre de personne. Il est confiant et sûr de lui, tout l’inverse de moi. Je pivote et lui tourne le dos ne supportant plus son regard perçant. Il me fait perdre mes moyens, c’était mieux quand il m’ignorait finalement. 

  

D’un coup, je sens deux mains m’agripper les bras et me tirer en arrière. Avant de réaliser ce qu'il se passe, je me retrouve contre le torse musclé de Sasuke. Mon dos est collé contre lui, et je sens entre mes fesses quelque chose de dure que j'identifie tout de suite. Le rouge me monte rapidement aux joues.  

  

— Je me demande quel bruit sexy tu fais si je fais ça...   

  

Je ne comprends pas tout de suite de quoi il parle, jusqu'à ce que je sente ses doigts glisser vers mon bas-ventre, puis mon entre-jambe. Je ne bouge pas, complètement perdue. Sasuke est très attirant et je suis très tentée de me perdre dans ses bras pour oublier ce que Sai m’a fait. Après tout, je ne fais rien de mal. Que dit-on déjà ? Ah oui, quand on tombe à cheval, la meilleure chose à faire et de remonter aussitôt en selle. Nous sommes deux adultes consentants après tout. Et peut-être que de coucher avec lui m’aidera à ne plus penser et ruminer à propos de mon ex ? Il pourrait être une distraction, un pansement. 

  

Mais il est le colocataire de mon frère et son meilleur ami. La situation est compliquée. Que penserais Naruto de tout ça ? 

 

 Je suis sortie de mes pensées lorsque je sens la main de Sasuke arrivé à destination. Il effleure doucement mon point sensible avant de dessiner des petits cercles, ce qui m’arrache un petit gémissement. Surprise et gênée, je couvre mes lèvres de mes deux paumes pour faire taire ses petits bruits. J'entends Sasuke faire un petit son désapprobateur avant de m'enlever les mains de devant la bouche. 

  

—  Non. Je veux t'entendre gémir et crier mon nom, chuchote-t-il contre mon oreille 

  

Il repose ses doigts contre mon intimité et reprend ses mouvements circulaires sur mon petit bouton sensible. Pendant de longues minutes qui me paraissent trop courtes, il continue à caresser le clitoris et me pénètre d’un doigt, ou deux parfois. C'est si bon, je ne peux m’empêcher de laisser échapper des gémissements de plaisir, mais sans les étouffer cette fois. Il est vraiment doué avec ses mains, contrairement à Sai, qui lui ne me touchait que rarement. Je lui faisais des préliminaires et après, il me pénétrait tel un bourrin. N’étant pas toujours lubrifiée, s'en était même parfois douloureux. Égoïstement, il ne pensait qu’à son propre plaisir. Sasuke lui ne s’occupe que du mien à cet instant et j’adore ça. Ces sensations et ce plaisir que je n'ai pas l’habitude de ressentir. Ce sont des choses nouvelles pour moi. Mes gémissements emplissent la pièce, Sasuke se penche à mon oreille et me la mord doucement en ajoutant : 

  

— Voilà, c'est de ces petits bruits là, dont je parlais. Si excitants... Sens l’effet que tu me fais, murmure-t-il d’une voix rauque. 

  

  

Effectivement ça doit vraiment l’exciter, je le sens encore plus dur et imposant que tout à l’heure. Sa deuxième main commence à me caresser le sein gauche, en me pinçant de temps en temps le téton. Il va me rendre folle avec ses caresses. Il doit avoir l’habitude de faire ce genre de chose. Soudain, j’épreuve une pointe de jalousie que je m’efforce de mettre de côté. Mes gémissements ressemblent plutôt à des petits cris maintenant et je commence à perdre pied. Heureusement qu'il n'y a personne à l'appartement, car ils auraient deviné ce que nous faisions, enfermés dans cette salle de bain. Ses doigts titillent toujours mon clitoris d'un mouvement circulaire et ma respiration se fait de plus en plus rapide et haletante. Mon cœur bat à la chamade et une chaleur se concentre dans mon bas ventre. 

  

— Je n'en peux plus, chuchote Sasuke à mon oreille. 

  

C’est plutôt à moi de dire ça, ses caresses me rendent ivre de plaisir. Je vais jouir d’un instant à l’autre. 

       

Quand tout à coup Sasuke arrête son doux supplice et me pousse, un peu brutalement, de l’autre côté de la baignoire. Je me retrouve accrochée au rebord, à quatre pattes, le cul en l’air, complètement frustrée de ne pas avoir eu mon orgasme pourtant si proche. Je ne comprends pas pourquoi il m’a poussé à l'autre bout du bain jusqu'à ce que j’entende un bruit que j’identifie rapidement : l'ouverture d’un emballage en aluminium. Ok, il avait tout prévu et avait une idée derrière la tête en me rejoignant dans ce bain. Quelques secondes plus tard, je sens quelque chose de dure frotter contre mon intimité. 

  

— Tu peux crier autant que tu veux, on est seul. 

  

Et il me pénètre d’une traite, ce qui m’arrache un petit cri de plaisir. Il est vraiment imposant, pas comme Sai qui lui est un peu en dessous de la moyenne. Heureusement que je suis bien lubrifiée, le membre chaud et épais de Sasuke est rentré facilement. 

  

Il commence de lents va-et-vient, puis accélère vite la cadence me rendant complètement folle. Dieu merci, mon frère n’est pas à l'appartement, sinon il m’aurait entendu hurler de plaisir procuré par les coups de reins de son colocataire. Ses doigts agrippent fermement mes hanches lui permettant d’aller plus loin, profondément dans mon intimité. Sasuke est plutôt brutale, sauvage, mais j’adore ça. J’aime qu’il ne me traite pas comme une poupée fragile. Sous ses assauts, je descends ma main et commence à me caresser le clitoris pour accentuer mon plaisir. Ses testicules tapent contre mes fesses. J’ai chaud, des petites perles de sueur coulent le long de mes tempes et ma respiration est haletante. Je sens la tension au creux de mes jambes et j’accentue la pression sur mon bouton sensible. Le plaisir monte, je ne suis pas loin de la jouissance. 

  

Il rassemble mes cheveux dans sa main et les tirent légèrement en arrière. Sans que je m’y attende, il me mord l’oreille, ce qui déclenche l’orgasme qui me titillait depuis plusieurs secondes. Et je jouis, en criant son nom. Des spasmes parcourent mon corps et mon vagin se contracte autour de la verge de Sasuke. J’entends ce dernier grogner contre mon oreille, je sais qu’il est satisfait. 

  

Je suis encore toute haletante et tremblante quand mon amant lâche mes cheveux et passe sa main sous ma taille pour me soutenir tandis qu’il continue ses va-et-vient. Quelques secondes après, il vient en moi, et s’affale sur mon dos, le souffle court. 

  

— Putain, souffle-t-il. 

  

Je suis toujours à quatre pattes dans la baignoire, avachie sur le bord soutenant tant bien que mal le poids de Sasuke. On reste dans cette position quelques minutes avant qu'il se redresse. Il m'attrape le bras, puis me relève comme si j'étais aussi légère qu'une plume. Il enjambe le rebord et me traîne derrière lui après avoir jeté son préservatif à la poubelle. On traverse le couloir, nus, laissant une traînée d'eau sur notre passage. Il entre dans une pièce et me tire à l’intérieur. Je me retrouve rapidement plaquée contre le bois froid de la porte.  

  

— Je n'en ai pas fini avec toi Sakura. Je vais te prendre contre cette porte. Maintenant, affirme-t-il d'un ton autoritaire.  

  

A ces mots, un frisson parcourt mon corps et je sens mon entre-jambe s'humidifier. Maintenant, je ne rêve plus que d'une chose : qu'il me prenne là maintenant contre cette porte. Ses mains se posent sur mes hanches avant que sa bouche capture la mienne. Notre premier baiser. J’entrouvre mes lèvres pour approfondir le baiser. On s'embrasse fougueusement comme deux adolescents en manque l’un de l’autre. Je sens son corps nu se coller contre le mien. Ses mains se posent sous mes fesses et il me soulève avec facilité. Mes pieds quittent le sol et je m'empresse de passer mes jambes autour de sa taille. Je sens son sexe redevenu dur, titiller mon intimité. Je le vois déchirer l’emballage d’un préservatif entre ses dents avant de le dérouler d’une main sur sa verge. Mon Dieu, mais il en avait prévu combien dans cette salle de bain ? Il compte entamer un marathon sexe ? Non pas que je sois contre. Consommé par le désir, il n'attend pas et dirige d'une main son membre à l'entrée de mon vagin. Je pousse un soupir d'aise quand il me pénètre, contente de me retrouver à nouveau remplie. 

  

Ses lèvres abandonnent les miennes pour reculer légèrement et contempler mon visage tandis qu'il instaure de lents va-et-vient qui me rendent complètement folle. Je me mords la lèvre inférieure pour étouffer mes gémissements. J'aperçois un sourire en coin apparaître sur son visage, avant de reprendre possession de ma bouche et d’accélérer le rythme. Je cri, j’halète tout en lui tirant les cheveux. 

  

Mon dieu, je n'ai jamais autant pris mon pied, ce plaisir et ce désir que je ressens en m'envoyant en l'air avec lui est perturbant. C’est nouveau pour moi et je n’ai pas envie que ça s’arrête. Je joue un jeu dangereux et je vais probablement me brûler les ailes, mais à cet instant, je m'en fiche. Tout ce que je veux, c'est sentir sa queue me remplir et me rendre folle de plaisir.  

 

Après quelques minutes, je succombe sous ses assauts en criant une nouvelle fois son nom et il ne tarde pas à me rejoindre. On reste un moment, plaqués contre cette porte, nos corps nus enlacés. J’entends son cœur tambouriner bruyamment dans sa poitrine et sa respiration haletante. 
  

Je décroisse les jambes et je me laisser glisser le long de son corps jusqu'à ce que mes pieds touchent le sol. On se fixe un instant quand un sourire en coin apparaît sur son visage tandis qu’il se débarrasse du préservatif. Qu'est-ce qu'il a encore derrière la tête ? Il revient pour embrasser délicatement mon cou, puis mon épaule avant de s'agenouiller devant moi. Il écarte doucement mes jambes et je frissonne quand je comprends ce qu'il a derrière la tête. Son idée me plait beaucoup. Ce mec est incroyable ! 

  

Je croise son regard assombri par le désir et me mords la lèvre inférieure. Sa bouche s'approche doucement de mon sexe et gémissement m'échappe lorsque sa langue effleure délicatement mon clitoris. Il commence à le titiller, le lécher, le sucer à m'en faire perdre la raison. Sai n'a jamais voulu essayer et je me rends compte que je suis vraiment passé à côté de quelque chose. Bordel de merde, c'est trop bon ! Je suis en chemin vers un énième orgasme quand on entend du bruit dans le couloir. 

  

J'écarquille les yeux et me fige quand je reconnais la voix : mon frère. Bon sang, il n'avait pas dit être chez sa copine ? Sasuke, lui n'est pas perturbé le moins du monde et continue à s'occuper de moi comme si de rien n'était. Un soupir d'aise s'échappe de mes lèvres et je prie pour que mon frangin ne l'ai pas entendu. Je pose la paume de ma main droite contre ma bouche pour essayer d’étouffer mes gémissements sans grand succès. Je sens le sourire de Sasuke contre mon clitoris, cette situation l'amuse beaucoup. Pas moi. 

 

Soudain, on toque à la porte. Oh merde ! Je pris pour que mon Dieu du sexe ait pensé à fermer à clef, mais je ne pense pas. Pourquoi l’aurait-il fait ? Nous étions sensé être seuls !  

  

 Sasuke, tu t'es encore choppé une pouffiasse ? demande Naruto de l'autre côté de la porte.  

  

La pouffiasse, elle t'emmerde. Putain, mais dégage de là et laisse-moi profiter de la langue divine de ton colocataire. Retourne chez ta copine ! Sasuke émet un petit rire étouffé qui vibre contre mon clito, rivalisant avec tous les sex-toys dans ma table de nuit. Oh my god ! Un long gémissement s’échappe de mes lèvres, mais est à moitié étouffer dans ma paume. 

  

— Tu n'imagines pas combien elle est bonne, une vraie gueularde. Je crois qu'elle est déjà accro à ma bite, sourit-il. 

  

Je lui lance un regard noir. J'ai envie de le tuer lui aussi, il ne peut pas la fermer et dire à mon frère de dégager pour qu'on puisse profiter de notre folle soirée ?  

  

— Salaud, rit mon frère. T'es chié, tu t'envoies en l'air alors que ma sœur est dans la chambre à côte à pleurer sa rupture. 

  

Non. Actuellement, je ne pleure pas, je célèbre plutôt mon célibat, mais là, tu viens légèrement me déranger. Alors, dégage ! 

  

— Elle a dit qu'elle sortait voir une amie, ment-il. 

  

— Ah super. Ça lui changera les idées. J'ai oublié mon chargeur de téléphone, je repars. Bonne soirée et défonce bien ta salope. 

  

— Ne t'inquiète pas pour ça, rit-il. Je vais bien la défoncer ta sœur, ajoute-il en chuchotant de façon à ce que je sois la seule à l'entendre. 

  

Je rougis et encore une fois, mentalement, je frappe mon imbécile de frère. Pouffiasse et salope, non mais je vais lui en mettre une à ce petit con ! S'il savait que la soi-disant pouffiasse qui est en train de s'envoyer en l'air avec son coloc était sa sœur, je pense qu'il rirait moins. Alors que je l'entends s'affairer dans sa -ma- chambre, Sasuke reprend sa douce torture. Toujours la main plaquée contre ma bouche, je profite de sa langue experte. Je pars en quelques minutes en essayant tant bien que mal d’étouffer ma voix et le prénom de Sasuke sans grand succès. Il se lève et me retourne contre la porte. Ma joue et mes seins sont plaqués contre le bois de la porte plus si froid que ça après nos étreintes précédentes. Je sens un de ses doigts s'enfoncer en moi et je pousse un petit gémissement. Il me mord le lobe de l'oreille et je sens son érection au garde à vous contre mes fesses. Il n'arrête jamais de bander lui, pensé-je en riant. 

  

 Putain, Sakura, t'es complètement trempée, chuchote-t-il. 

  

Je voudrais qu'il se taise et que là maintenant, il me prenne contre cette fichue porte. Baise-moi, bordel ! 

  

— Ferme là et prends moi. Toute suite, ordonnée-je. 

  

— Oh, j'aime ce ton autoritaire. Ça m'excite, soufle-t-il d’une voix rauque. 

  

Il ne se fait pas prier plus longtemps et me pénètre d'un coup sec. Un cri de plaisir m’échappe quand il s'enfonce enfin en moi, j'en oublie presque mon frère. Je ne sais pas où il est lui d'ailleurs. Enfin, en parlant du loup.  

  

—  Ça y est, j'ai tout. Et tu as raison Sasuke. Putain, quelle gueularde ! Faudra que tu me la présente, un jour. 

  

Je sais que mon petit frère n'est pas fidèle envers sa copine, mais je suis choquée de l'entendre le dire ouvertement de la sorte. Sasuke stop son va-et-vient et donne un coup dans la porte avant d'élever la voix. 

  

— Dégage, putain, râle-t-il. 

  

— Ouah ! C'est bien la première fois que tu ne veux pas partager, s'étonne Naruto. Elle a une chatte magique que tu veux garder rien que pour toi ou quoi ? plaisante-t-il. 

  

— Naruto. Tu me casses les couilles là, casse-toi. Je suis occupé, s'énerve Sasuke. 

  

— Ouais, j'ai compris. Tu baises, t'inquiète, je l'ai bien entendu. Bon, bah bonne soirée. A demain ! 

   

On entend la porte de l'appartement claquer quelques secondes plus tard. Enfin, bon débarras ! J'entends Sasuke pousser un soupir dans mon cou. 

  

— Putain, j'ai cru qu'il ne partirait jamais, grogne-t-il. 

  

Je lâche un petit rire, moi non plus, j'ai cru qu'il ne s’en irait jamais. Sasuke reprend ses va-et-vient et cette fois mon frère n'est plus là pour nous déranger. Je pose mes paumes à plat contre la porte et me cambre pour mieux le sentir, que la pénétration soit plus profonde. Il attrape mes cheveux et les enroule autour de sa main avant de me tirer la tête légèrement en arrière. Il me prend sauvagement contre cette porte -que je ne verrai plus jamais de la même manière- pendant de longues minutes. Puis, il lâche ma crinière, se penche vers moi et pose une de ses mains contre la porte à côté de la mienne. Ses doigts s’emmêlent aux miens. Je sens l'autre se poser sur mon clitoris et commencer des mouvements circulaires qui décuple mon plaisir. Ses coups de bassin sont toujours aussi brusques, mais j'adore ça. Aujourd’hui, je ne veux pas de douceur. Je veux que ça soit intense. Quelques minutes plus tard, on jouit ensemble en criant le nom l'un de l'autre. Le choc de l'orgasme est tellement violent que mes jambes ne me portent plus. Sasuke me soutient tout en reprenant son souffle. 

  

Il se redresse et je le vois se crisper lorsqu’il se retire. C'est à ce moment que je percute. Bordel de merde. Comment ai-je pu être aussi bête et imprudente. Je n’ai pas fait attention lorsqu’il m’a pénétré la troisième fois, et lui non plus visiblement. 

  

— Le préservatif, chuchoté-je. 

  

Sasuke me dévisage stupéfait et visiblement embarrassé. Lui aussi l'a complètement oublié. 

  

— Merde. Sakura, je suis désolé. Je ne sais pas si tu vas me croire, mais si ça peut te rassurer, je suis clean. Je ne l'oublie jamais d'habitude... Je ne sais pas ce qui m'a pris, c'est la première fois que ça me sort de la tête. 

  

— Je te crois. Je te fais confiance et je prends la pilule. Et je suis clean également. 

  

  

Bien sûr, il peut me mentir, mais pour le moment, je décide de le croire. De toute façon, maintenant, c'est trop tard. Je suis trop fatiguée pour me poser des tonnes de questions et mettre en doute sa parole. Je prendrais malgré tout un rendez-vous chez ma gynéco pour contrôler que tout va bien. Mais n’y pensons plus pour le moment car ce que je veux à cet instant, c'est dormir. J’ai eu assez d’émotion pour aujourd’hui et je sens extrêmement fatiguée. Sans doute le contrecoup. Sasuke se dirige vers son lit et ouvre les draps pour s'y asseoir.  

  

— Tu viens ? demande-t-il. 

  

Je suis étonnée qu'il me propose de dormir avec lui, je ne m’y attendais absolument pas. Je pensais qu'il allait me mettre à la porte après notre partie de jambes en l'air. Je souris et le rejoins. Je n'avais pas tellement envie de dormir seule ce soir. On se couche dans les bras l'un de l'autre et je sombre très rapidement. Je ne sais pas de quoi sera fait demain, l'avenir nous le dira.  



 

 

 

 

 

un clic sur l'image pour le chapitre suivant !

Voila voilà un petit chapitre bien hot qui émoustillera ma petite Jess :p Après ton super lemon de hier soir XDDD

 

J'ai mis déconseillé au moins de 18 ans, car on ne sait jamais ça peut en choquer certaine. Donc vous voilà prévenu XD La suite sera dans le même état d'esprit.

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Commentaires: 5
  • #1

    Ayumi (dimanche, 18 juin 2017 15:44)

    OH MY FUCKING SHIT MOTHER GOOD !
    Ça c'est du lemon bordel de merde !
    Putain t'aurais pas pu me le faire lire hier après ma GROSSE daube de lecture ? Non ? XD Salope !
    J'adore sincèrement, c'est hot sans pour autant être vulgaire et putain... des petits papillons après la lecture t'en as *p*
    Je veux une suite, tout de suite ! XD
    Bon ça manque un peu d'os a mon humble avis *sort loin*
    Va falloir que je t'en fasse un bien aussi... Je vais m'appliquer ;P

  • #2

    Ayumi (dimanche, 18 juin 2017 15:45)

    Après comme je te l'ai dis, je suis choquée par le perso de Naruto. Lui qui pour moi à toujours été un gentleman qui aime sincèrement sa copine. Comment il peut dire et faire ce genre de chose ? Je suis outrée... >< Je l'aime plus ! C'est un connard !

  • #3

    Hanna (dimanche, 18 juin 2017 17:36)

    XDDD J'y ai pensé puis je me suis dis 'non elle va etre toute chose pour aller dodo' hahaha Je travaille sur la suite :p
    Hum non désolé Jess il n'y aura pas d'os dans cette fiction haha ça c'est ton domaine <3 mais si tu en écris une avec des os dans le cul oui je lirais avecplaisir XD

    Il a toujours sincèrement aimer Sakura XD dans la manga, il regarde pas Hinata du tout, sauf à la fin quand il a plus le choix XD donc non hahaha Après il aime quand même sa copine,son coeur est monogame mais son zizi est polygame XD

  • #4

    Elie (lundi, 17 juillet 2017 16:03)

    Mon dieu ce lémon est sublime sa donne envie je pense que tu vas devoir me prévenir pour celle la aussi ^^ J'ai tellement envie de voir comment sa va se passer XD

  • #5

    Laurence (lundi, 25 février 2019 16:23)

    Tu es doué en lemon����